Après La clé de mes songes (roman, L’Harmattan, 2012), GUAN Jian poursuit sa navigation entre Asie et Europe, entre présent et passé, entre douleur et bonheur, entre réel et imaginaire, entre dégustation de la vie et méditation sur la mort … Dans ses livres précédents, elle s’est surtout inspirée de son propre parcours, qu’elle nomme « ma mine d’or », alors que dans La pluie de l’aube, son regard se fixe davantage sur l’Autre, sur le monde qui l’entoure.
« Écrire, c’est rendre nos vies éternellement belles », dit-elle. Écrire en français, cette langue qui n’est pas sa langue maternelle, c’est plonger dans un océan pour apprendre à nager, un joyeux plongeon dans l’incertitude.
Paru en 2016 : La Pluie de l’aube