Mémoires d’un tueur ordinaire

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Parce qu’il s’ennuie dans sa maison de retraite et que sa conscience le titille un peu trop, il entreprend de partager avec d’anonymes lecteurs quelques scabreuses affaires qui ont émaillé son existence.

Vous qui allez lire ce livre, ne vous méprenez pas, il n’y a dans cette narration aucune ambiguïté. Seuls les faits et les circonstances qui les ont amenés à se produire sont rapportés.

Le narrateur n’entend point se confesser ni entrer en pénitence, tout au plus cherche-t-il à atténuer sa responsabilité en invoquant ces grains de sable qui enrayent de temps à autre la raison comme le cours banal de la vie.

Claude Bachelier

 

Durant des années Claude Bachelier a parcouru le monde sur terre comme en mer et puis voilà qu’après avoir franchi détroits et caps, traversés gorges et défilés, il prend la plume pour raconter la vie, le quotidien de gens qui ne sont pas des héros, qui ont ce petit plus qui les rend si différents et qu’un jour, peut-être, il a croisé sans les voir.

Mémoires d’un tueur ordinaire, un roman de Claude Bachelier, 118 pages, 13 € + 3,50 Fdp, parution prévue le 31 mars 2017 ISBN : 979-10-94810-09-5

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6 comments

  1. J’ai lu en deux soirées « Les Mémoires d’un tueur ordinaire ». Encore une fois, j’admire votre écriture, belle et fluide. J’ai beaucoup apprécié l’ambiance de la Marine avec son vocabulaire si particulier, ancien, poétique et quelque fois étrange. Le navire école à voiles « La Belle Poule », ça ne peut que faire rêver un marin, Maistrance, l’école des officiers de marine, la Jeanne, bien sûr, que tout le monde connaît et regrette. Pour le « bidel » j’ai trouvé que l’origine du mot est le nom d’un directeur de ménagerie et par extension argotique, celui du maître d’armes chargé entre autres de la discipline sur un navire. (Merci Wikipédia)
    Et puis ces expressions : « le nez dans la plume », comme c’est joliment dit et « le regret du vent qui soufflait dans la mature ». Cela m’a fait penser au vent qui chante à travers les aiguilles de pin.
    J’ai apprécié les conversations, c’est comme ça qu’on cause dans la réalité. Avec les « vraies gens »…
    Je trouve que le tueur avait mille fois raison. Ses victimes n’avaient qu’à pas l’emmerder. Il ne leur a rien demandé, il ne les a pas cherchées. On a quand même le droit de vivre tranquillement. Alors pourquoi viennent-ils lui casser les pieds ? Et hop ! un coup tatane au cul du bricolo dans la cage d’escalier, un coup de couteau dans le ventre de l’amant de sa femme ou dans le gros bidel libidineux et pour finir une simple chiquenaude dans l’épaule de sa femme pour la faire tomber de la falaise. « Non ! Je ne l’ai pas poussée Monsieur le Juge, elle est tombée toute seule ! » Sans compter la corde à piano, excellente idée, c’est un peu comme le fil à couper le beurre. Vraiment pas de quoi avoir des remords. Au fond ce n’était pas un méchant homme. Il n’a simplement pas eu de chance sur sa route.
    Je vous remercie d’avoir enfin évoqué votre expérience dans la Royale. Mais je reste dans l’attente de vos récits de voyage : Madagascar, Djibouti, Singapour, Saigon, Papeete, Valparaiso, Pointe à Pitre, Tanger, Sfax ? Quand connaitrons-nous ces ports que chantent tous les marins ?
    Dans cette attente, merci pour ce beau texte.
    Amitié,
    Pierre TRUTT

  2. Bonjour Claude,
    Juste un petit mot pour te dire que je viens de terminer ton dernier livre ” Mémoires d’un tueur ordinaire” et que je l’ai beaucoup apprécié!!!
    Déjà le titre est magnifique et en plus tu es un narrateur par excellence: on se laisse tranquillement emmener dans une folle histoire!
    Merci pour ce bon moment de détente et de réflexion,
    Betty

  3. Un homme ordinaire, oui, mais un tueur extraordinaire puisqu’il réussit l’exploit de ne jamais se faire prendre ! En tout cas, un personnage qui se confie en toute simplicité, en toute sincérité, sans regret mais sans forfanterie, sur le ton de la conversation. Le lecteur se retient parfois de répondre à ses interrogations, ses apostrophes ! Et il lui donne volontiers l’absolution !
    Un roman qui se dévore d’une traite et qui ne manque pas d’humour !

  4. « le nouveau roman de Claude Bachelier nous raconte, sous forme de Mémoires, l’histoire d’un type ordinaire, qui ne rêve que d’une vie tranquille, sereine et sans histoires. Mais ce serait trop simple et certains, presque inconsciemment, l’empêchent de vivre cette vie rêvée qu’il appelle de ses voeux. Alors, il va faire en sorte que ces malfaisants ne soient plus un obstacle à cette vie et avec le plus total manque de morale, il les expédie dans l’autre monde sans autre forme de procès et avec la satisfaction du travail bien accompli.
    Après « Angèle Cartier », la belle histoire d’une femme de caractère, Claude Bachelier crée un personnage que rien ne distingue de tout un chacun, si ce n’est la facilité et la bonne conscience avec lesquelles il fait passer ceux qui « lui pourrissent la vie » de vie à trépas. L’auteur ne manque pas, durant la soixantaine d’années que se passe l’intrigue, d’évoquer sans avoir l’air d’y toucher les évènements qui ont marqué ces années-là: la Libération, la guerre d’Algérie, mai 68, la fin du mur de Berlin… Et bien sûr, la vie à bord de la Jeanne d’Arc du narrateur, une vie que, à certains détails près, l’auteur a connu à bord d’autres bâtiments de la Royale. Sans toutefois, certaines fins tragiques.
    Donc, un roman qui n’est pas un roman policier, mais le roman d’une vie -presque-… ordinaire. »
    disponible à la librairie TULIQUOI à Allevard ou à la Librairie du Square à Grenoble

  5. Merci pour votre livre que j’ai découvert avec grand intérêt.
    Votre personnage, tout à fait marginal, correspond assez, me semble-t-il, à un type de plus en plus fréquent d’individus amoraux et faussement insensible. J’ai bien apprécié votre style, simple et ramassé, un peu “stendhalien” ( je pense à la mort de Mme de Rênal dans “le Rouge”) mais très percutant à la fois !
    Bravo et merci derechef

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